Québec, le 25 août 2016 – À la suite de l’article publié ce matin dans le quotidien La Presse, sous la plume du journaliste Vincent Brousseau-Pouliot, le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) se réjouit des propos de la ministre du Commerce international, Mme Chrystia Freeland, quant à la reconnaissance du régime forestier québécois dans le cadre des négociations avec les États-Unis sur le bois d’œuvre.
En outre, le CIFQ accueille favorablement la déclaration de la ministre à l’effet que le régime de libre accès souhaité par le gouvernement du Québec, la communauté d'affaires, les syndicats et l'industrie forestière ne figure pas parmi les principaux points en litige dans le cadre de l’actuelle négociation.
« II s’agit d’une excellente nouvelle et d’une avancée significative, car la ministre partage la position unanime du Québec qui réclame un libre accès au marché américain en raison de la spécificité de son régime forestier. Jamais auparavant le gouvernement du Canada n’a-t-il appuyé aussi clairement le régime québécois », a déclaré le président-directeur général du CIFQ, M. André Tremblay.
Rappelons qu’une réforme en profondeur du régime forestier québécois est intervenue depuis l’Accord sur le bois d’œuvre résineux de 2006. Entré en vigueur en avril 2013, ce régime prévoit notamment la vente des bois sur un marché libre à un prix qui reflète leur valeur marchande.
« Les gestes posés par le Québec et son industrie doivent être reconnus. Aucune contrainte commerciale ne devrait être imposée au Québec. À la lumière des déclarations de la ministre Freeland, nous sommes confiants de voir cette reconnaissance inscrite dans le prochain accord », de conclure M. Tremblay.
SOURCE : Conseil de l’industrie forestière du Québec
Renseignements : Mario St-Laurent
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