Québec, le 18 février 2015 – Lors d’un passage en Mauricie lundi dernier, le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Laurent Lessard, s’est montré ouvert à rendre disponible à la récolte les volumes de bois non récoltés au cours de la période 2008-2013, et ce, afin de répondre aux besoins signifiés par de nombreuses entreprises et intervenants de l’industrie forestière. Le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) y voit un signe encourageant pour l’industrie et pour la création d’emplois dans les régions du Québec.
« Le message lancé par le ministre Lessard est très positif, et ce, tant pour la Mauricie que pour l’ensemble des régions du Québec. La possibilité d’utiliser les volumes de bois disponibles à la récolte va permettre à l’industrie forestière de générer des retombées économiques majeures pour tout le Québec et d’améliorer sa rentabilité. L’industrie rappelle que pour chaque mètre cube de bois prélevé, c’est 60 $ qui vont au redressement des finances publiques. L’industrie forestière est un levier de développement économique important et nous tendons la main au gouvernement du Québec afin de répondre à la demande à la hausse et créer de la richesse au bénéfice de toute la collectivité » a indiqué André Tremblay, président-directeur général du CIFQ.
L’industrie forestière : un potentiel économique énorme
Le CIFQ est convaincu que l’économie québécoise peut bénéficier davantage des nombreuses retombées d’une industrie innovante et prospère.
« Nous avons au Québec, l’un des régimes forestiers les plus rigoureux et les plus reconnus au monde. Notre forêt et son industrie font partie de la solution lorsqu’on vise un Québec vert, prospère et concurrentiel dans le respect des principes du développement durable. Nous répondons présents et nous sommes prêts à discuter, de manière constructive, avec le gouvernement afin d’être les plus compétitifs au monde », a conclu M. Tremblay.
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À propos du CIFQ
Le Conseil est le porte-parole de l’industrie forestière du Québec. Le CIFQ compte plus 160 membres réguliers, de sciage résineux et feuillus, de déroulage, de pâtes, papiers, cartons et panneaux œuvrant au Québec, ainsi que 180 membres associés. Ces derniers génèrent un chiffre d’affaires de 15,9 milliards $ chaque année, soit près de 4 milliards $ en salaires et avantages sociaux, dont près de 1,5 milliard $ est retourné aux gouvernements sous forme de taxes et d’impôts payés par les entreprises et les travailleurs.
SOURCE : Conseil de l’industrie forestière du Québec
Renseignements : Mario St-Laurent
Directeur des communications
Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ)
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