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Bien sûr que non! Aujourd'hui, les techniques utilisées pour la récolte prennent soin de protéger les sols et les petits arbres.
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À propos de ce rapport
Le rapport sur le développement durable de l’industrie forestière du Québec de 1990 à 2015 du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) est le premier rapport en son genre produit par l’organisation.
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Le Bureau de promotion des produits du bois du Québec (QWEB) et le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) ont convenu de réaliser une analyse de risque provinciale.
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Pour toute demande d'entrevue, veuillez contacter :
Chantal Lefrançois
Adjointe exécutive
418 657-7916 poste 467
chantal.
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Classification - Courbures from CIFQ on Vimeo.
Les défauts de fabrication from CIFQ on Vimeo.
La carie from CIFQ on Vimeo.
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Mise à jour : 22 septembre 2023
1. Notre politique de protection des renseignements personnels
Les renseignements personnels (ci-après les « renseignements ») que vous nous confiez sont précieux et nous sommes déterminés à tout mettre en oeuvre pour les protéger.
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Découvrez par vous-même ce qu’il est possible de réaliser ENSEMBLE.
Le CIFQ, par son réseau, son influence et sa crédibilité, crée une mobilisation sans précédent pour défendre ses membres dans de nombreux dossiers d'actualité.
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Support des initiatives du milieu : un enjeu prioritaire
Le CIFQ est non seulement le porte-parole de l’industrie, mais il se doit d’unir ses forces avec tous les acteurs du secteur forestier face aux grands enjeux pouvant influencer son développement et supporter des initiatives du milieu pour y répondre, plus spécifiquement en développant le volet information auprès des milieux de l’éducation et sensibilisation du grand public.
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Le Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ) est né du regroupement des activités de trois associations : l'Association des industries forestières du Québec (AIFQ), l'Association des manufacturiers de bois de sciage du Québec (AMBSQ) et l'Association de déroulage et sciage de feuillus du Québec (ADSFQ).
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Depuis le début des années 1990, certains des principaux marchés d’exportation canadiens ont exigé que le bois exporté par le Canada soit traité à la chaleur de manière qu’il atteigne une température interne minimale de 56 °C pendant au moins 30 minutes, de manière à détruire tous les organismes nuisibles pouvant être associés au bois avant l’exportation.